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États de surfaces réglementaires

La famille des surfaces réglementaires est encadrée par la loi et revêt un paramètre d’importance : elle constitue l’assiette de la plupart des impôts sur le patrimoine bâti.

Pour l’urbanisme et depuis la loi Alur de 2012, le droit à construire est régit par la « surface de plancher » et l’« emprise au sol » du projet. Définit par l’article R.111-22 du Code de l’Urbanisme, elle est obligatoire pour tout dépôt de document d’urbanisme (permis de construire, déclaration préalable…). Cette surface remplace les « surfaces hors œuvre » (SHOB/SHON) encore utilisées aujourd’hui au regard de l’accessibilité handicapée et des performances énergétiques d’un bâtiment.

Lors d’une estimation immobilière : l’Etat fixe un certain nombre de règles s’appliquant grâce à différentes surfaces :

- La surface habitable pour les logements

- La superficie privative d’un lot de copropriété issue de la loi Carrez

- La surface de vente issue du Code du Commerce

Pour le paiement de l’impôt :

- Pour la Taxe d’Aménagement

- Pour la Taxe Foncier sur les propriétés bâties

- Pour la Taxe annuelle sur les bureaux en Ile-de-France

- Pour la Redevance pour la création de bureaux ou de commerces en Ile-de-France

Pour l’ensemble de ces surfaces, Gexpertise propose différents types de visualisation :

- Une vue traditionnelle en plan

- Une vue axonométrique avec son outil Axo-Surf

Cette visualisation permet une meilleure vision de chacune de ces surfaces en superposant l’ensemble des niveaux de votre bâtiment.

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