Entre mars et avril, deux des rendez-vous les plus importants pour la filière de l’immobilier se sont tenus en France. Du 13 au 17 mars, la grande fête internationale de l’immobilier à Cannes a ouvert ses portes. Puis, les 5 & 6 avril à la Porte de Versailles à Paris, la 9e édition du BIM World, l'événement dédié à la construction numérique et à l'aménagement durable, a rassemblé les acteurs du bâtiment durable.
Le MIPIM était sur toutes les lèvres avec l’espoir de s’y retrouver avec d’autres visiteurs professionnels dans une belle humeur.
Comme chaque année, Gexpertise disposait d’un bateau, opéré avec quelques partenaires, sur lequel nous avons été honorés et heureux de vous recevoir, que cela soit en ayant pris rendez-vous ou au débotté, le matin, le midi, le soir ou juste pour vous asseoir et reposer des jambes fourbues ! Vous êtes toujours les bienvenus.
Non moins important, nous étions également présents au BIM World du 5 au 6 avril et nous nous réjouissons d’avoir pu parler avec nos interlocuteurs de rétroconception, modélisation, numérisation du patrimoine, jumeaux numériques, maquettes numériques ou systèmes d’informations géographiques.
Parallèlement, nos équipes continuent d’intervenir sur l’intégralité du territoire hexagonal afin de lever, détecter, diagnostiquer ou auditer, modéliser des sites existants bâtis ou non mais aussi implanter, piloter et assurer la réalisation de futurs lieux de vie. Ils en tirent une grande fierté.
L’ambiance est morose ? Alors travaillons et agissons dans la joie. Celle de bénéficier de votre confiance, celle de savoir que nous représentons un maillon indispensable dans des opérations répondant aux besoins de nos concitoyens, enfin celle de voir à quel point il fait doux vivre en France, n’en déplaise aux fâcheux de tout poil. Ces derniers seraient capables de nous faire croire que notre vie n’est que souffrance. Mais peut-être vivent-ils de ces névroses créées au sein de la communauté ? Peut-être est-ce le seul moyen pour eux de justifier de leur existence ? Sans doute seraient-ils bien inspirés de se poser la question « Comment puis-je servir la France ? Comment puis-je apporter de la joie ? » plutôt que « Comment puis-je bloquer la France ? ». La fierté à en retirer ne me semble pas du même acabit.
Pour comprendre cela et le ressentir au plus profond de son être, rien ne vaut l’expérience liée aux voyages longs, hors des clubs de vacances « all inclusive », pour leur préférer traîner ses guêtres dans la vraie vie de milliards d’individus ayant si peu… sauf… la joie !
Commentaires